Un bel été de la Saint-Martin au Bisse
Ici, pas de portes qui claquent, pas de cocu(e), pas de maitresse...
Et si une petite entourloupe s’invite dans la soirée, c’est pour la seule cause qui vaille : l’amour !
L’automne connaît parfois de belles journées, sursauts de l’été qui s’enfuit à regret et nous rappelle la douceur des torpeurs estivales. Comme le dira le moment venu Madame Lebreton (Françoise Houal) à Briqueville (Jean-Bernard Staal) : « C'est le soleil de la Saint-Martin... ça réchauffe, mais ça ne brûle pas. »
Dans cet automne là (le sien), Briqueville va réchauffer un peu ses vieux os à ce soleil clément. Ce doux piège qui s’ouvre à lui pourrait être terrible, dévastateur...
Mais peut-être que la raison - pas la triste raison, raisonneuse et raisonnable, mais plutôt la sagesse et la sérénité - aura son rôle elle aussi à jouer.
Peut-être qu’un neveu triste et aimant (Gérard Greslon) forcera le coeur du vieil oncle bourru et retrouvera sa tendresse.
Peut-être que la douce Adrienne (Marie-Reine Partyka), nièce supposée de Madame Lebreton, trouvera une juste place dans les coeurs de l’un et de l’autre...
Peut-être...
Mais vous savez comment avoir les réponses à ces questions, n’est-ce pas ?
Représentation ce soir à 21 h 00 au Théâtre du Bisse - ou au balcon qui le surplombe, c’est selon.
Et toujours l'Agenda
Voici l’article publié ce jour dans le Dauphiné Libéré, jailli de l’amicale plume de Martine Vergnoux-Debray.
Lisez-le et vous aurez envie de découvrir la première partie de soirée animée par François Côte et Bernard Houal autour de textes de Meilhac. C’est drôle, enlevé et ça mordille gentiment.